Arundhati Roy est célèbre pour son activisme pacifiste. Son premier essai, intitulé The End of Imagination (La fin de l'imagination), était une réaction aux tests nucléaires indiens de Pokharan au Rajasthan. Suivront The Greater Common Good (Le plus grand bien commun), contre la politique des grands barrages menée par le gouvernement indien, et The Reincarnation of Rumpelstiltskin (La réincarnation de Rumpelstiltskin), qui analyse la privatisation des canaux de distribution de choses essentielles comme l'eau et l'électricité.
Elle défend l'idée d'après-développement et a participé à sa conceptualisation, ainsi elle a participé à plusieurs forums sociaux, notamment celui de Mumbai (2004).
En mars 2002, elle est condamnée par la Cour Suprême indienne pour avoir dénoncé la décision de justice autorisant la construction d'un barrage sur la Narmadâ, condamnation symbolique d'un jour de prison et de 2000 roupies (35 € au cours de février 2004). En 2004, Roy reçut le prix Sydney de la Paix pour son engagement dans des campagnes sociales et son appui au pacifisme. En 2005, elle participa au Tribunal Mondial sur l'Irak.
Hommage en chanson :
Mrs Roy a sous la plume
Le combat des femmes
Roy, les canons fument
Les puissants se pâment
Mrs, voix de la paix
Dénoncera la fable
Elle a embrassé les lèvres de l’intouchable
Arundhati
Enraye la machine
Indienne en sari
Arundhati
Balaie les doctrines
Et l’Inde est en vie
Mrs Roy fille du Kerala
Un diamant sur le nez
Roy a deux grands yeux
Qu’elle aime promener
Mrs fait monter au ciel
Ceux des puissants
Elle, scandaleusement belle
Défie les géants
Arundhati
Enraye la machine
Indienne en sari
Arundhati
Balaie les doctrines
Et l’Inde est en vie
Mrs Roy offre au monde
Son inspiration
Elle se déchaîne
De ses traditions
Mrs tient dans le creux de ses mains
Le Dieu des petits riens
Arundhati
Enraye la machine
Indienne en sari
Arundhati
Balaie les doctrines
Et l’Inde est en vie
Mrs Roy - Tryo
Extrait de l'album Ce que l'on sème